Loin d’un banal comparatisme, « Crossing Mirrors » ordonne une approche croisée de l’art, de l’ethnologie et du politique. Au primitif se mêle une cartographie du contemporain, lui aussi façonné par le mythe, qu’il s’empare des codes anthropologiques liés à l’initiation et à la fertilité, ou qu’il en crée de modernes.