Magazine
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Critique
À contresens des écoles et des modes, le projet d’É. Royer et Y. Gourmel assume jusque dans son titre cette approche inédite de l’histoire de l’art. En appeler sans détour au « sentiment » pour exposer l’art contemporain relève d’une audace qui n’a rien du simple effet d’annonce.
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Cette semaine à Paris
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Le point de repère historique de ce volet est la revue féministe « Sorcières » (1975-1982) qui accompagne les mouvements féministes des années 1970 en traitant, au fil de ses parutions et entre autres thèmes, les questions du travail domestique non rémunéré, du contrôle de la vie humaine et de la violence contre les femmes.
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Maison populaire
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Cécile Simon et Céline Barrère sont photographes. Ensemble, elles se sont lancées dans le projet fou d’ouvrir un studio de portraits. Peu satisfaites des options offertes par les tristes années 2000, elles remontent le temps et s’arrêtent quelque part entre les années 70 et 90 aux Etats-Unis et fondent le studio Cheese.
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Point Ephémère
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Tout le monde aime les fantômes parce qu’ils rendent les limites de nos vies moins définitives. Ils passent à travers les murs, ils sont encore habillés mais n’ont plus de corps et ils font « Bouuh ! » en se moquant de ceux qui occupent désormais leur maison.
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Galerie Nivet Carzon
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Dans ce froid hivernal et cette actualité « chaleureuse », Les artistes de la galerie sont réunis autour de l’unique exposition collective annuelle qui n’a pour but que le frisson de l’espace mental et la satisfaction d’une soif de découverte.
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Galerie RX
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Le metteur en scène et scénographe Philippe Quesne est invité par le Pavillon Neuflize OBC, laboratoire de création du Palais de Tokyo, à inventer une forme scénique en collaboration avec dix artistes et curateurs venus du monde entier. Composition collective, la pièce est issue d’un jeu d’associations et de parasitages dont chacun peut être l’auteur ou l’acteur.
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Ménagerie de verre
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Mais où donc est passé Joachim Mogarra, cet imprévisible artiste, ce poète des objets du quotidien, cet historien moqueur des grands textes classiques, démiurge à ses heures, enfant perdu dans le monde des adultes, magicien manipulateur qui cueille pour nous des images insolites ?
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Galerie G-P & N Vallois
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L’exposition rend compte d’une autre histoire de l’Amérique latine à travers 40 livres de photographie produits entre 1921 et 2012, révélant ainsi pour la première fois la remarquable contribution de l’Amérique latine à l’histoire du livre de photographie.
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Le BAL
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Deux lieux pour une exposition. On attend là une intervention qui se joue sur les deux espaces à la fois, voire même un redoublement. Car Heimo Zobernig aime habituellement travailler sur la question du double : le double de l’artiste, le double de l’espace, ou le double de l’œuvre, mais cette fois, le redoublement n’a pas lieu de manière évidente.
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Galerie Chantal Crousel Galerie Chantal Crousel – La Douane
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Jonathan Meese, l’enfant terrible de la peinture allemande, doit principalement sa réputation à ses performances baroques et à ses installations tentaculaires. Son œuvre protéiforme combine une infinie variété de techniques et de matériaux : sculptures, collages, textes, peintures, assemblages, dessins, gravures.
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Galerie Catherine Putman
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Pour son exposition à la galerie Martine et Thibault de la Chatre Karine Bonneval montre une série d’installations, sculptures et images nées d’une réflexion sur les relations entre le vivant et le mécanique. Ainsi, des sculptures de porcelaine représentant des objets liés à l’automobile sont hérissés de céréales pour agro-carburants et incarnent une vie toute artificielle.
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Deux journées exceptionnelles de tables rondes réuniront anthropologues, philosophes, personnalités politiques, cinéastes, sociologues, musiciens… autant de voix pour rendre hommage au formidable parcours intellectuel de cet homme à l’engagement de tous les instants.
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Evénement
La Ferme du Buisson
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L’univers atypique des vidéastes présentés lors de l’exposition qui leur est exclusivement réservée à la galerie e.Bannwarth, dévoile l’engagement de ces artistes à se confronter aux limites esthétiques de ce médium qu’est l’expression vidéographique.
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19:30 → 21:00
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Evénement
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Soirée littéraire avec la participation d’Alain Durel, écrivain et philosophe, Georgiana Medrea Estienne, historienne et critique littéraire et Jezdimir Radenovic, essayiste.
Centre culturel de Serbie
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19:30
En 1987, au cours du week-end d’Halloween, trois jeunes frères se mettent en quête de remplacer la montre bien-aimée de leur père mourant. Ils volent alors le camion du boulanger et partent pour Ballybunion, l’ancienne destination de vacances familiales, là-même où cette montre avait été gagnée dans une salle de jeux de nombreuses années auparavant.
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Cinema
Centre culturel irlandais
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La galerie Emmanuel Hervé présente des œuvres de Charles-Henri Monvert où seul le jaune est utilisé, décliné dans ses différentes vibrations. L’effet irradiant de la distribution des motifs constitue une structure que déploie chaque série d’œuvres, comme de façon organique. Son œuvre quasi ascétique prouve que l’abstraction a encore beaucoup à montrer.
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Galerie Emmanuel Hervé
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« Into the Woods » propose, entre romantisme contemporain et minimalisme saturnien, une expérience esthétique mystérieuse. Imaginée comme une promenade en forêt, cette exposition esquisse à travers le travail de onze artistes femmes, un paysage mental fantasmagorique.
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La Galerie des Galeries
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La galerie Pascal Vanhoecke présente l’exposition personnelle de Vision graffeur, writer, artiste. Il a découvert le graffiti au milieu des 80’s du côté du fameux terrain de Stalingrad, en même temps que le rap et tous les ingrédients de la culture hip-hop. Le graffiti est désormais reconnu comme un art à part entière et son Histoire s’écrit constamment.
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Galerie Pascal Vanhoecke
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L’œuvre « Une Colline », viendra enrichir l’exposition. Première étude artistique commandée par l’ANDRA à un artiste, « Une Colline » consiste à imaginer un dispositif de mémoire des centres de stockage des déchets radioactifs en vue de transmettre aux générations futures toutes les informations sur l’existence et le contenu des sites construits pour garder ces déchets.
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Evénement
Synesthésie ¬ MMAINTENANT
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Pierrot Bidon fait partie de ces défricheurs d’art que furent Merce Cunningham ou Pina Bausch. Libre, « anar » même, il enfreint dès les années 70 les règles du « circassiennement correct », transgresse celles de la performance, il cherche à donner du sens tout en maniant la dérision, privilégiant l’atmosphère et les images qui « époustouflent ».
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Galerie Seine 51
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L’événement Tim Burton, conçue par le MoMA en 2009 et accueilli ce printemps à la Cinémathèque française, est l’occasion jubilatoire de revoir ses films (dont ses courts-métrages les plus confidentiels), mais aussi de le découvrir dessinateur, peintre, vidéaste, photographe, inventeur de sculptures bigarrées et stupéfiantes.
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Cinémathèque française
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Pour sa deuxième exposition personnelle Gao Jié plonge le public dans les circonvolutions de son cerveau. L’exposition présente une accumulation de créations (dessins, installations, photos et vidéo), comme autant de neurones que le public doit connecter entre eux. A travers plusieurs thématiques, l’artiste décompose ses réflexions comme des zones distinctes de son cerveau.
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A2Z Art Gallery
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Studiolo est une mini série d’expositions d’une œuvre, un artiste, présenté chaque mois dans le petit espace de l’entrée. Trois miroirs, ainsi qu’Han Ren les intitule, réfléchissent singulièrement la lumière. Ces cadres emplis de graphite contrastant avec la virginité du papier à l’extérieur de leurs contours, dessinent les dignes moulures de miroirs baroques.
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Less is More Projects
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Cʼest à travers le prisme du politique et du social que la galerie Yvon Lambert présente une exposition de groupe intitulée La Décadence. A cette occasion cinq artistes : Gardar Eide Einarsson, Douglas Gordon, Loris Gréaud, Francesco Vezzoli et Cerith Wyn Evans présentent de nouvelles productions ou réactivent des pièces historiques.
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Galerie Yvon Lambert
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Gilles Desrozier s’affirme comme un véritable poète de la période contemporaine. Non par ses thèmes, quoiqu’ils répondent pour certains à ce qu’on entend communément par poésie, mais par sa façon de casser les définitions, c’est-à-dire la raison. Là où le rationnel achoppe parce que l’espace se métamorphose jusqu’au paradoxe visuel, surgit le poétique.
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Galerie Taïss
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Rendez-vous incontournable de l’image en mouvement, Hors Pistes s’est donné pour but d’explorer les nouvelles formes de l’image contemporaine : films et images projetées, images exposées, images performées. Une sélection internationale de films et vidéos sera proposée et Le Silence des bêtes, exposition sous le signe de l’Animal, parallèlement présentée.
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Evénement
Centre Georges Pompidou
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Petra Mrzyk et Jean-François Moriceau investissent la vitrine d’Air de Paris pour une exposition-fleuve en quatre chapitres, jusqu’à l’été 2012.
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Galerie Air de Paris
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A l’occasion de sa quatrième exposition à Air de Paris, Torbjørn RØDLAND présente une série de tirages argentiques noir et blanc résultant de plusieurs expositions chacun. Le titre de l’exposition renvoie à la complication et à la violation de l’espace pictural que ce procédé d’exposition multiple réalise, sans la moindre manipulation numérique de l’image.
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Galerie Air de Paris
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Toute la journée
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Exposition
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La collection du Musée du Centre Pompidou s’expose au Musée de la Chasse et de la Nature autour de la notion d’enfermement sous le commissariat de Philippe-Alain Michaud, historien d’art, théoricien et conservateur au Centre Pompidou.
Centre Georges Pompidou
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C’est avant l’apparition de l’image, au niveau même de l’écran, qu’intervient Adriana Lara. Formats purs dans lesquels l’information se doit plus que jamais de tenir, l’artiste exploite leur dimension projective, littéralement. En s’appropriant la matérialité de l’écran comme support : sans message, par déformation, le medium devient un autre medium.
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Galerie Air de Paris
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Tagore fait partie des écrivains qui, comme Hugo, ont ressenti la nécessité de produire des images sans mot. Née des rêveries graphiques que suggèrent les ratures de ses manuscrits, sa peinture conserve de l’art indien la sinuosité de la ligne, le raffinement de la couleur, quand ses compositions géométriques empruntent plutôt à la modernité occidentale.
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Petit Palais
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Voilà bien le sens même de la « gastrosophie », cette sagesse des goûts des odeurs. Celle du plaisir d’être ensemble que l’on retrouve dans le banquet platonicien ou dans le « symposium » d’antique mémoire. C’est bien une telle promenade que propose le livre Recettes d’hier et d’aujourd’hui d’Hélène Strohl.
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Conférence
Fondation d’entreprise Pernod Ricard
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La galerie présente la première exposition personnelle de Dorothée Smith à Paris. Cette jeune artiste française est depuis un an et demi résidente du Fresnoy. Dorothée Smith, à travers ses différentes séries photographiques et installations vidéos explore la question du (trans)genre.
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Galerie Les filles du calvaire
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Réfléchir la nature en ville, trouver un mur et y transposer une représentation d’un arbre, cet arbre, souffle d’aération si recherché par le citadin, une fenêtre sur la nature peut s’ouvrir, comme une vision rapide, floue et éphémère d’un paysage par la fenêtre d’un train.
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Galerie Since
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Pour cette exposition l’artiste présente de nouvelles œuvres telles qu’une sculpture en acier peint représentant une ampoule électrique ou une sculpture murale en acier découpé où s’entremêlent des motifs de fourmis. Des dessins réalisés mécaniquement, des impressions sur papier ou encore une peinture émaillée sur aluminium.
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Galerie Mitterrand
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Pour la première exposition de l’année (de la fin du monde), les plus jeunes artistes de la galerie présentent un ensemble d’œuvres autour d’idées de la
littérature fin-de-siècle, du pessimisme décrit par Schopenhauer et Huysmans. Le curieux est invité à s’immerger dans cet univers intime et onirique, laissant derrière lui les horloges et les mètres.
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Galerie Martine Aboucaya
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Les formes, la géométrie, les courbes et surtout la ligne font partie des objets de réflexion de nombreux artistes. Ici, c’est la disposition linéaire des œuvres qui devient la thématique même de l’exposition. Cette idée de linéarité remet en question la relation des œuvres entre elles et le rapport entre l’espace et le regard du spectateur.
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Baraudou Schriqui Galerie
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