Magazine
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Critique
À travers les trois médiums que sont peinture, sculpture et installation, Le Dîner des fantômes, la proposition du musée Dapper permet d’entrer de plain-pied dans l’univers de l’artiste d’origine béninoise Julien Vignikin, installé en France depuis son enfance et diplômé des Beaux-Arts de Dijon.
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Charlie Hebdo
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La perte de Cabu, de Wolinski, ces artistes qui ont su parler avec force de notre société à des générations entières, la perte de Tignous, Honoré et Charb, d’une équipe de « disciples » brillants dont le regard acerbe et insoumis servait chaque mercredi l’humour, la réflexion et la tolérance des individus avant leur appartenance ethnique, politique et religieuse, relèvent de l’intolérable. Ces pertes, associées aux crimes odieux qui les ont suivies, n’ont pas été tolérées. L’irrévérence, l’humour et le bonheur des différences constituent des piliers essentiels à la création artistique. Leur attaque et la blessure infligée au monde ne seront jamais de simples cicatrices, elles unissent chacun d’entre nous, dans notre diversité de pensée, de foi ou de conviction autour d’un seul et même ennemi : la bêtise la barbarie. Aucun autre amalgame ne peut être permis.
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Cette semaine à Paris
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Le BAL présente la cinquième carte blanche PMU donnée à de jeunes photographes. Après Malik Nedjmi, Mohammed Bourouissa, Olivier Cablat et Kourtney Roy, Le travail de Léa Habourdin et Thibault Brunet est à l’honneur.
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Le BAL
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Trois artistes présentent une installation confrontant leurs pratiques respectives. Partant du constat que nos identités ne nous permettent pas de planifier un résultat mais nous permettent de le construire, elles ont confronté leurs peurs et leurs rêves, dans la volonté de construire plusieurs œuvre(s) commune(s) en une installation.
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Le 6b
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Gagosian Paris présente une exposition retraçant la carrière de Balthus à travers une sélection de peintures, dessins et photographies. Préparée en collaboration avec la famille de l’artiste, cette exposition est la première consacrée à son travail à Paris depuis la rétrospective du Centre Georges Pompidou en 1983–84.
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Gagosian Gallery
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Le premier volet du cycle d’expositions « L’art et le numérique en résonance » aborde l’interpénétration des médias et des pratiques issus du champ numérique. En questionnant le contexte économique et social, l’art numérique nous offre une représentation du monde contemporain.
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Maison populaire
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La galerie Catherine Putman présente pour la première fois le travail d’Eloïse Van der Heyden. Cette jeune artiste imprime des trames de tissus noués à la main où s’inscrit l’esprit humain face à l’épreuve du temps et de l’usure. Elle voit dans l’aura de ces textiles une façon de parler des liens humains que l’on tisse et qui se défont à travers les ans.
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Galerie Catherine Putman
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Des récifs de montagnes au pied desquels trônent une chaussure de tennis géante, un cœur gonflable et autres produits de marque… D’esprit pop’art, les nouveaux tableaux de Jiří Votruba constituent une critique ludiques de la société de consommation globalisée.
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Centre culturel tchèque
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En spectateur, archiviste ou archéologue, Eric Rondepierre repère les images de films en relation avec des évènements « parasitaires, micro-phénomènes qui n’ont plus le moindre rapport avec le cinéma ». Son œuvre n’est ni un hommage au cinéma, ni une tentative de restauration, mais prend simplement appui sur une mutation en cours du cinéma et de son industrie.
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La MABA
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18:00 → 21:00
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Vernissage
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Activation de la pièce Telepathic Mice (2014), créée par Gwenola Wagon & Stéphane Degoutin.
Et performance OU par Marie-Julie Bourgeois avec Omar Benyebka — Entrée libre
Maison populaire
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Avec ses sculptures, ses installations parfois quasi architecturales, ou ses environnements, Pierre Vadi crée des espaces fictionnels. Pour le CCS, il conçoit une exposition qui se déploie de la cour à la grande salle avec des interventions in situ ainsi que plusieurs sculptures inédites.
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CCS — Centre culturel suisse
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Pour la Pièce sur cour, il réinterprète au fusain les « Quatre torses » de Félix Vallotton, sous forme de motifs déconstruits et répétés. Des paysages colorés et encadrés se superposent aux grands nus de dos.
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CCS — Centre culturel suisse
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Le Crédac présente une exposition monographique consacrée à Bruno Pélassy. Après une formation en textile et joaillerie, Bruno Pélassy initie une pratique artistique au début des années 1990. Il a exploré et déployé une poétique ambivalente de la vie et de la mort par l’usage de métaphores et de figures mises en scène, un jeu de techniques multiples.
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Le Crédac
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Le cycle « Eternel retour » réfléchit sa propre forme : le mouvement en spirale d’un temps replié sur lui-même, à l’instant où tout se reconstruit. Chaque année, à sa date anniversaire, la galerie Perception Park renouvelle ainsi ses vœux de collaboration en interrogeant ce qui revient, ce qui reste, ce qui survit à l’écoulement du temps.
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Galerie Perception Park
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Avec Sven ‘t Jolle, soyez assurés d’éviter le chic et les poncifs. Depuis plus de vingt ans, l’artiste belge développe une production singulière liant recherches formelles et critique sociale. Il explore les possibilités d’une sculpture contemporaine figurative, de la statuaire au ready-made, du monument à l’installation.
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Galerie Laurent Godin
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Progress Gallery accueille pour sa programmation Carte Blanche, Alicia Zaton qui investit l’espace de la galerie de multi-installations. « J’aime à penser que ma biographie commence avant ma naissance. Née de parents polonais, je me suis toujours sentie proche de cette histoire que je n’ai pas traversée. » A.Z
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Progress Gallery
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Dans l’espace des églises, Nicolas Momein réalise une pièce monumentale en suspension, animée de renflements. Un accident contrôlé, exploitant les propriétés du matériau employé, déforme une toile tendue et modèle un relief inversé. Cette sculpture fait appel aux compétences particulières d’une entreprise locale.
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Les églises centre d'art de Chelles
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Le CPIF propose deux monographies de figures importantes de la scène artistique italienne, Paola De Pietri et Alessandra Spranzi. Alessandra Spranzi s’approprie des photographies préexistantes, prélevées méthodiquement dans des manuels. Paola De Pietri, quant à elle, interroge la manière dont les évolutions historiques informent le paysage urbain.
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CPIF — Centre photographique d’Ile-de-France
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Le centre d’art Albert Chanot et le centre d’art de l’Onde à Vélizy s’associent pour proposer une exposition commune et établir un dialogue artistique sur deux territoires proches, autour des pratiques populaires et des avoirs ancestraux.
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Centre d'Art Contemporain Chanot CACC
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