|
|
|
Cette semaine à Paris
|
– Voir l’agenda sur Slash
|
| |
|
Parce qu’il fait partie de cette génération pour laquelle l’émergence de CANAL+ a été un fait culturel majeur, la chaine, pour célébrer ses 30 ans, a demandé à Xavier Veilhan de porter son regard d’artiste sur elle. L’artiste imagine au Palais de Tokyo une œuvre constituée d’une fresque monumentale et d’un espace scénique.
|
|
Palais de Tokyo
|
| |
|
Située dans le Forum, au cœur du Centre Pompidou, cette nouvelle « Galerie de photographies » de 200 m2, a pour vocation de déployer plus généreusement toute la richesse de la collection de photographies du musée national d’art moderne, en proposant au public de nouvelles lectures d’un fonds riche de 40 000 épreuves.
|
|
Centre Georges Pompidou
|
| |
|
Les photographies que Klavdij Sluban a réalisées en 2013 à Hauteville House s’inscrivent dans une tradition que la maison d’exil de Victor Hugo à Guernesey a suscitée dès son origine. Photographe de l’ailleurs, attiré par les lieux ténébreux et insolites, Klavdij Sluban tente de percer les mystères de ce lieu de mémoire et de poésie.
|
|
Maison de Victor Hugo
|
| |
|
Cette exposition retrace la spécificité et l’histoire de la photographie de théâtre à travers quatre pièces de Victor Hugo dont la force d’inspiration fascine encore metteurs en scène, comédiens et photographes.
|
|
Maison de Victor Hugo
|
| |
|
Les artistes réunis au sein de cette exposition formulent leur point de vue par rapport à ce champ de réflexion, interrogeant le médium photographique sous différents angles : dans sa forme, au-delà de sa construction unilatérale et bidimensionnelle, vers la prise de l’espace, qu’elle soit filtre, barrière, lumière, liaison, sculpture où installation.
|
|
Galerie Escougnou-Cetraro
|
| |
|
Après son exposition au Jeu de Paume en 2012, Muntadas revient à Paris. La proposition …et avec cela ? constituée d’œuvres sérigraphiées ou imprimées, des affiches, et un ensemble conséquent, vingt-cinq pièces, questionne le langage et son utilisation dans nos sociétés mondialisées et notamment son utilisation à des fins marchandes.
|
|
Galerie michèle didier
|
| |
|
Après le succés international de la série « Birthday Party », Vee Speers présente à l’occasion du Mois de la Photo et de Paris Photo sa nouvelle série « Bulletproof », qui s’inscrit comme une suite de son précédent projet. Son exposition personnelle s’accompagne de la parution d’un ouvrage aux éditions Kerher Verlag.
|
|
School Gallery / Olivier Castaing
|
| |
|
« Temps sensibles » est la troisième exposition de Florence Paradeis à la Galerie In Situ.
|
|
Galerie In Situ
|
| |
|
Présentés simplement sur des pupitres d’acier patiné, éclairés de Leds dissimulés, ces livres de porcelaine dédiés à la vie onirique sont éclairés et éclairants à travers leurs lumières et par leurs significations. Chacun est réalisé à la main par Charlotte Cornaton dans les fameux ateliers historiques de Jingdezhen en Chine.
|
|
Galerie BSL
|
| |
|
« Mille miroirs dans la forêt » réunit les travaux de deux photographes — Yuki Onodera & Aki Lumi — qui partagent leur vie, leur temps et leur espace de travail, tout en développant chacun une œuvre indépendante et exigeante. Le miroir, inverseur de vérité, est le lieu de la formation d’un reflet, reflet plus ou moins déformé, plus ou moins fiable.
|
|
La MABA
|
| |
|
A l’occasion de l’ouverture de son nouvel espace, la MdM Gallery présente « Paysages Humains », une exposition collective qui rassemble le travail photographique de quatre artistes brésiliens. La galeriste Maria do Mar Guinle propose une vision du Brésil détachée des représentations iconiques du pays qui trop souvent tendent au cliché.
|
|
MdM Gallery
|
| |
|
La Maison du Danemark propose une rétrospective du photographe Keld Helmer-Petersen, figure emblématique de la photographie moderniste nordique. Keld Helmer-Petersen s’initie à la photographie en 1938, il devient très vite un des photographes les plus reconnus au Danemark et connaît son premier succès en 1948 quand il publie le livre 122 Farvefotografier.
|
|
Le Bicolore
|
| |
|
En retournant son objectif sur sa personne le photographe bouleverse ses codes, il peut dès lors voir son appareil comme un pistolet et la prise de vue comme un défi. Avec une quarantaine de tirages modernes et contemporains, l’exposition explore la photogénie intense de cet instant de vérité.
|
|
Les Douches la Galerie
|
| |
|
Evangelia Kranioti est une artiste plasticienne née en Grèce et basée en France. Diplômée de Droit, d’arts visuels de l’Ecole nationale supérieure des Arts Décoratifs de Paris, elle vient de recevoir son diplôme du Fresnoy — Studio national des Arts Contemporains avec les félicitations du jury à l’unanimité.
|
|
Galerie Sator
|
| |
|
A travers une sélection de peintures, de collages et de sculptures, l’exposition invite à appréhender l’œuvre par sa matérialité, sa réalité tangible, ainsi que par la pratique dont elle procède, soit la somme des gestes ayant porté sa réalisation et précédé son statut. Au-delà de toute théorie, c’est de plasticité et de mouvement dont il est question.
|
|
Galerie Perception Park
|
| |
|
Le travail de Scaglia réinterprète différents évènements des conflits armés qui sont survenus au Pérou entre les années 80 et 90. Son intérêt pour la recontextualisation de ces évènements dans le champ de l’art l’a conduit à questionner l’origine des avant-gardes et à se demander ce qui détermine qu’une action soit considéré comme art ou non.
|
|
Galerie Bendana | Pinel Art Contemporain
|
| |
|
Formé à l’Académie royale des beaux-arts de Gand à la peinture autant qu’à la photographie, Dirk Braeckman donne vie à ses images dans la chambre noire. Là, parfois des années après la prise de vue, il retravaille la matière même du négatif puis du tirage, rephotographiant souvent ses propres tirages.
|
|
Le BAL
|
| |
|
Pour sa deuxième exposition et en parallèle au Mois de la Photographie, la Galerie Jérôme Pauchant présente le couple d’artistes français Rémy Marlot et Ariane Chopard. Cette exposition permet de découvrir leur série la plus récente intitulée « Souvenirs d’Italie » en regard avec les « Black houses », série inaugurale dans leur œuvre en noir et blanc.
|
|
Galerie Jérôme Pauchant
|
| |
|
De la même manière que les scientifiques cherchent à déterminer les lois fondamentales de l’Univers, les artistes — à travers leurs pratiques esthétiques, rêvent et interprètent le monde afin de nous y réinscrire en tant qu’être humain. Mais peut-on rendre visibles certains éléments complexes dont la réalité physique demeure inexplicable ?
|
|
Galerie Da-End
|
| |
|
L’exposition confronte les photographes contemporains Antoine d’Agata, Dieter Appelt, Roger Ballen, Blanca Casas Brullet, Anne Mandelbaum, David Nebreda, Catherine Rebois, Andres Serrano, Dorothée Smith, Patrick Tosani. Ils s’interrogent, chacun à leur manière, sur les dimensions du sensible et sa mise en image avec la photographie.
|
|
Topographie de l’art
|
| |
|
Le tableau de Géricault, le Radeau de la Méduse n’est, que le point de départ à partir duquel Martin Bruneau déploie son talent. Ainsi, le radeau construit par les naufragés est pour ainsi dire absent, demeurent les corps dont l’artiste a conservé la position et les mouvements. Ils semblent flotter, entre ciel et mer, vie et mort.
|
|
Galerie Isabelle Gounod
|
| |
|
Pour Specific Inventory, Véronique Bourgoin interroge le spectateur sur l’évolution de l’espace de communication dans notre quotidien, Joël Leick arpente ces lieux abandonnés à l’écoute de leur histoire et livre une série pudique et sensible, dans sa série « Library », le photographe américain Matt Lipps compile des milliers de photographies en noir et blanc.
|
|
Galerie Eva Meyer
|
|
|
– Voir l’agenda sur Slash
– Tous les événements en ce moment
|
|
|
