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Magazine
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Entretien
Depuis plusieurs années, Guillaume Constantin intègre à son travail plastique différentes formes de dialogues avec les œuvres d’autres artistes, de la collaboration classique à la conception de dispositifs d’exposition. Retour sur son intervention au sein de La Méthode des lieux à la Maison populaire.
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Cette semaine à Paris
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Les volumes abstraits et les formes simplifiées de l’art lega, l’un des plus importants d’Afrique centrale, frappent par leur inventivité et leur élégance. L’art joue un rôle fondamental pour les Lega, en tant que symbole de réussite, outil d’apprentissage et de commémoration des morts.
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Musée du quai Branly
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Natacha Lesueur prend pour point de départ les images de Carmen Miranda fabriquées par Hollywood. Dans ce travail, elle rejoue la face médiatique de l’actrice qu’elle reconstruit entièrement : poses, décors, maquillages, costumes.
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Fondation d’entreprise Pernod Ricard
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Annette Messager est l’une des artistes majeurs de la scène française et internationale. Non sans humour ou dérision, les œuvres présentées mettent en scène certains paradoxes et tensions du monde contemporain.
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Galerie Marian Goodman
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Body Loud est la première exposition de Ryan McGinley à la Galerie Perrotin ; elle réunit un ensemble de plus de 20 photographies inédites, la plupart de grand format, réalisées cet été. Les compositions sont méticuleusement mises en scène, bien que les images qui en résultent ne le soient pas : la pratique de McGinley autorise et cultive la spontanéité.
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Galerie Emmanuel Perrotin
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L’exposition personnelle de Sophie Calle à la galerie Emmanuel Perrotin-Saint-Claude réunit deux séries — Tableaux dérobés et Que voyez-vous ?, ainsi que l’œuvre Le Major Davel.
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Galerie Emmanuel Perrotin – Saint Claude
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« Mes photos créent de l’agitation parce qu’elle partent d’un sentiment d’émotion (…) parce que la femme ne montre pas son apparence extérieure mais son intériorité : le désir érotique, la peur, la misère (…). Je ne photographie pas la sexualité, je photographie l’érotisme. Ainsi, pour moi, une femme n’est que quelque chose d’infiniment beau » — Sanne Sannes.
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Institut néerlandais
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18:00 → 20:00
Dans la performance « XXX, With a man’s hand poked through a hole in the wall, he is offering bonbons to visitors », Jiri Kovanda s’adresse directement au public de l’exposition. Ici, l’artiste s’engage physiquement et reste pourtant caché des regards.
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Conférence
La Galerie, centre d’art contemporain
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20:00 → 21:00
Guillaume Désanges interroge en formes et en actes, certaines histoires récentes de l’art : « Il s’agit d’explorer, à partir de ma position récente de critique et commissaire d’exposition, la part occulte, refoulée voire honteuse, de ma relation à l’art contemporain. »
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Conférence
La Galerie, centre d’art contemporain
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La couleur apparaît dans l’œuvre de Raymond Depardon dès les premières images. Il a alors 16 ans. Depuis, elle l’accompagne dans tous les moments forts : les années de découverte de la photographie, les premiers voyages en Afrique, les grands reportages, puis plus récemment « un moment si doux » qui donne son titre à l’exposition.
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Les Galeries nationales du Grand Palais
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Artistes, galeristes, collectionneurs, professionnels, curieux et passionnés se retrouvent à nouveau cet automne autour d’une programmation ambitieuse et exigeante, mettant l’accent sur la diversité et la qualité des artistes et des œuvres présentées.
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Evénement
Grand Palais – La nef
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« Mystérieux et menaçant, cet âge qui s’abîme dans le pouvoir symbolique des choses, où rien ne saurait être dissimulé, où l’ornement est légion, où l’histoire s’infiltre partout dans la matière, et dont Jean-Marie Appriou se fait l’animateur » — Rebecca Lamarche-Vadel.
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Galerie Edouard-Manet de Gennevilliers
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Lin Tianmiaoproduit des œuvres qui questionnent la société chinoise et son rapport aux antagonismes qui la traversent : passé/présent ; masculin/féminin ; tradition/mondialisation. Par son histoire singulière, l’œuvre de Lin Tianmiao se distingue radicalement de la production chinoise contemporaine — une synthèse du Pop-art et du réalisme socialiste.
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Galerie Lelong & Co
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Carole Benzaken développe un travail pictural qui questionne le statut de l’image, sa représentation comme sa perception dans l’espace du tableau et hors du tableau. Elle ne cesse de brouiller les pistes en se renouvelant constamment par l’usage de nouveaux médias et de nouveaux dispositifs qui s’inscrivent aujourd’hui dans l’espace tridimensionnel.
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Galerie Nathalie Obadia
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« 68 parcelles d’un mur en béton 68 carrés noirs 68 panneaux de bois peint une exposition de monochromes des monochromes en plein air un mur de peintures des peintures sur un mur de peintures visibles 68 jours de mars à mai printemps graffiti carré noir » — Nicolas Chardon.
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Performance
CAC Brétigny
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Cette exposition de photographies réunit le travail de deux artistes suédois, qui ont passé quelques années à Paris. Ils nous offrent une image à la fois personnelle et très éloignée des clichés habituels de la capitale, ainsi que des portraits d’artistes. Chacun partage ses expériences individuelles de la capitale française pour les rendre universelles.
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Institut suédois
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Prenant ses racines à la fois dans l’esthétique photographique japonaise et nordique, Jacob Aue Sobol a réussi à développer sa propre expression caractéristique, dont le style narratif a la stature et l’attrait international.
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Le Bicolore
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Le projet d’exposition To Bring a Tear to the Stone naît sous la forme d’un dialogue possible avec l’architecture et la stratigraphie historique et sociale du 6b, un bâtiment d’anciens bureaux. En ce sens, l’exposition s’inscrit dans une phase cruciale et comme suspendue dans un entre-temps.
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Le 6b
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La photo revendique ici sa part d’irréalité. En l’assumant elle se veut aussi prospective et réfléchie sur le monde tel qu’il est ou pourrait être. Et s’éloignant de sa mission première, elle s’ouvre de nouveaux horizons.
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Plateforme
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Ohad Meromi présente pour la première fois la vidéo Worker! Smoker! Actor! ainsi qu’une série de pièces inédites.
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Triple V — Rue Louise Weiss
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Faisant référence au poème de Raymond Roussel du même nom dans lequel, regardant le petit paysage de plage inscrit dans la bille en verre de son porte-plûme l’écrivain décrit les scènes qui s’y déroulent et se laisse porter par son imagination, La Vue propose un ensemble hétéroclite des travaux de Géraud Soulhiol.
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Galerie 22,48 m²
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Les 10 artistes explorent le détournement corrosif de thèmes qui leur sont chers avec une fausse désinvolture pop. Ils expriment une rébellion personnelle, intime souvent désordonnée mais à coup sur authentique.
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Galerie Nivet Carzon
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Dans Double vues, Laurent Bochet observe la greffe de deux corps étrangers aux Adn parfaitement compatibles : d’un côté Architectones, un corpus d’œuvres spécifique de l’artiste Xavier Veilhan ; de l’autre, le monument d’architecture moderne que représente l’unité d’habitation de Le Corbusier, construite à Marseille en 1952.
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Galerie Florence Leoni
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Grâce à une succession de séquences qui enregistrent des actions lentes en rapport direct avec leur contraire, dans de rigoureuses compositions, les films de Jessica Warboys peuvent être considérés comme un ensemble de tableaux filmiques qui tentent de représenter quelque chose aussi insaisissable qu’ineffable.
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Galerie Gaudel de Stampa
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Une exposition de Brice Dellsperger a cet effet paradoxal que, s’il n’est question que de répétition et de reprise, elle a l’effet grisant de la nouveauté. L’artiste reprend autant de séquences de films d’auteur ou grand public, autant de scènes déjà fantasmées et prêtant au fantasme.
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Galerie Air de Paris
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Primavera évoque bien-sûr le printemps et aussi les (re)-commencements. Qu’est ce qu’être un artiste qui recommence ailleurs ? Comment habiter un espace où je ne fais que passer sans tomber dans la standardisation ? Comment manipuler l’iconographie pour sortir de mon propre folklore ? Comment Paris me met en mouvement ?
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CNEAI = Centre National Édition Art Image
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Hannah Whitaker utilise une chambre photographique 4 x 5 pouces, ce qui lui permet de manipuler la pellicule à la main. Des principes organisationnels sont à l’origine des ses photographies : motifs visuels, répétitions, systèmes numériques ou encore les compositions musicales de John Cage.
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Galerie Christophe Gaillard
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Pour cette exposition, la galerie a invité, pour la première fois, les 6 artistes qu’elle représente à travailler sur cette réflexion. Un parcours où le temps s’arrête ou s’étire indéfiniment pour révéler notre histoire, notre mémoire mais aussi nos mythes… Un temps non linéaire et moqueur pour mieux tromper notre vie quotidienne.
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Galerie de Roussan
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Dans son travail, Maria Friberg met en lumière la vie humaine par rapport à un contexte plus large, au sein duquel les forces de la nature et de la culture sont difficiles à cerner. L’artiste présente l’influence des technologies sur notre mode de vie, dans la série Duration.
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Galerie Bendana | Pinel Art Contemporain
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« À l’instar des mouvements artistiques du cinétisme ou de l’optique revenus très en grâce auprès du public et des professionnels, l’exposition se veut comme une expérience concrète et sensible de l’avancée de la recherche, à la croisée de l’art et des sciences numériques. Mouvement esthétique plutôt qu’artistique ? » José-Manuel Gonçalvès.
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Le Centquatre-Paris
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Appelé à se développer dans l’espace et le temps, le projet Architecture invisible ? invite plusieurs artistes à expérimenter une architecture dématérialisée selon différentes approches et pour des plateformes multiples. À partir d’un espace neutre, cette exposition tente de renouveler l’expérience du sensible, en mettant à l’épreuve l’œil/corps.
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Immanence
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Alors que par le passé, le travail d’Anne-Marie Schneider incluait film et sculpture, l’exposition se concentre plus particulièrement sur le dessin, dont la couleur d’une intensité nouvelle vient souligner le contenu psychologique. Elle dessine comme on tient un journal, dévoilant ses pensées les plus intimes, réagissant aux événements de la vie quotidienne.
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Galerie Peter Freeman, Inc. Paris
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La série The Picture Collection se compose de 49 pièces créées à partir du fonds d’archives iconographiques de la New York Public Library, un joyau méconnu de cette vénérable institution. Ce fonds d’archives compte 1,29 million d’estampes, cartes postales, affiches et images soigneusement récoltées dans des livres et des revues.
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Galerie Almine Rech
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C’est la toute première exposition des œuvres photographiques de ce duo d’artistes. Ces séries questionnent la fragilité de l’identité de chacun face aux diktats imposés par la société de l’image. Le duo travail sans retouches, en direct, ciseaux scalpel, scotch, comme une chirurgie artistique pratiqué de toute urgences, réinventant l’identité du patient.
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Galerie Dukan
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A l’occasion des 90 ans de Arthur Aeschbacher, la galerie Véronique Smagghe propose une mise en lumière des moments charnières de son parcours depuis les collages des années 60 jusqu’aux récentes œuvres à l’invention formelle rigoureuse et libre à la fois.
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Galerie Véronique Smagghe
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14:30 → 16:00
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Visite
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Lors de ces parcours en famille, les enfants et leurs parents participent à une visite ludique de l’exposition, en compagnie d’un médiateur culturel. Après avoir pris le temps de découvrir les œuvres, les familles peuvent prolonger la visite à leur rythme.
Maison populaire
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17:00
Maïder Fortuné propose un récit digressif qui fait écho à un film et/ou son processus de construction. Sébastien Rémy imagine une performance-conférence autour des liens qu’entretiennent espace de la mémoire et environnement urbain. Oriol Vilanova propose une réflexion sur l’espace muséal et la patrimonialisation, ainsi que sur leurs rapports complexes à la mémoire.
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Performance
Maison populaire
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20:00 → 21:00
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Performance
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A l’occasion de l’exposition Mujô-Kan, la Galerie Da-End a invité l’artiste japonais Masato Matsuura à venir se produire en direct au cours d’une nocturne. Le 16 novembre 2013 à 20h, il livrera au public une performance de théâtre Nô.
Galerie Da-End
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Cette exposition explore le paysage constamment changeant des réalités et des mythes de Manhattan. Elle réunit dans un panorama de grande envergure vingt-cinq artistes basés à New York qui réinventent leurs rapports avec la ville grâce à une compréhension unique de ses diverses sources de pouvoir.
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Galerie Thaddaeus Ropac Paris Pantin
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14:00 → 18:00
À l’occasion de l’exposition Second Nature de Guy Tillim présentée jusqu’au 22 décembre, le CPIF s’associe au Parc Culturel de Rentilly pour un après-midi de réflexion autour de la représentation du paysage en photographie.
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Conférence
CPIF — Centre photographique d’Ile-de-France
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L’exposition met en scène le lien unissant Rodin à l’antiquité gréco-romaine depuis ses années de formation jusqu’à sa mort en 1917, dans le contexte de l’atelier de l’artiste. Le visiteur découvre une sélection de quarante cinq sculptures, dix-sept dessins et une peinture de Rodin, mises en regard avec douze grands modèles antiques qu’il a admirés.
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Musée Rodin
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Toujours garder la bonne distance. « Assez près » pour que la photo soit bonne, mais pas trop proche non plus de la flamme, afin de ne pas s’y brûler. Combien de compagnons de route des groupes se sont carbonisés à leur contact. Youri Lenquette, lui, est encore là, indemne, pour exposer et témoigner.
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Galerie Addict
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America Latina offre une perspective nouvelle sur la photographie latino-américaine de 1960 à nos jours, à travers le prisme de la relation entre texte et image photographique. L’exposition révèle la grande diversité des pratiques en présentant aussi bien le travail de photographes que des œuvres d’artistes contemporains.
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Fondation Cartier pour l’art contemporain
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19:00
« L’imaginaire littéraire postmoderne » : Michel Maffesoli Michel Maffesoli reçoit Arnaud Viviant, auteur et critique littéraire, les auteurs Emmanuelle Maffesoli, Clément Bosqué et Hélène Strohl et Eric Troncy, commissaire d’exposition.
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Conférence
Fondation d’entreprise Pernod Ricard
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